Présentation de l’éditeur :
Agatha Raisin est enfin mariée à James Lacey, mais les jeunes mariés font cottage à part et s’accusent mutuellement d’infidélité. James disparaît subitement et sa maison est saccagée. De plus, Melissa Sheppard, la grande rivale d’Agatha, est assassinée et Agatha est la principale suspecte. Pour laver son honneur et retrouver James, elle mène l’enquête avec l’aide de son vieil ami sir Charles.
Mon avis :
Agatha Raisin nage dans le bonheur. Si, si, je vous assure, elle a nagé dans le bonheur pendant au moins une demi-page. Elle avait réussi à épouser James. Zas ! Le premier nuage se place dès la première page, le second survient très vite. En effet, il apparaît que certains hommes portent un regard très différent sur la femme aimée dès qu’elle n’est plus leur compagne mais leur légitime épouse : il faut qu’elle change, qu’elle obéisse ! Or, depuis dix tomes, nous savons déjà que ce n’est pas Agatha Raisin qui va se laisser commander par un homme, fut-il James !
Hélas, trois fois hélas, James disparaît – et le sang trouvé chez lui ne laisse pas présager un départ dans les meilleures conditions. Agatha n’aura de cesse de le retrouver – aidée par Charles, l’un des autres hommes de sa vie. Elle en a, des hommes, dans sa vie ! Elle cherche, elle cherche, elle cherche, elle ne cesse de parcourir la région, que dis-je la région, le pays, en tout sens, se livrant ainsi à une véritable quête de James. Ce ne sont pas les kilomètres qui l’arrêtent. Ni la manière dont les personnes qui l’interrogent la reçoivent. Il faut dire qu’Agatha part au quart de tour, il faut toujours tabler sur le fait qu’elle sera extrêmement énervée, explosive, plutôt que de penser qu’elle sera d’une incommensurable douceur.
A la décharge d’Agatha, il se trouve que James est plus ou moins accusé de l’assassinat de Melissa Shepard, charmante voisine et maîtresse de James. Plutôt plus que moins, d’ailleurs, parce que tous les policiers ne sont pas les champions de l’efficacité. Il faut donc qu’elle trouve le véritable coupable, et ce qu’elle apprend sur Melissa n’est pas des plus réjouissants. Les petits villages anglais abritent décidément des personnalités vraiment hors du commun, et un taux de meurtre qui l’est tout autant.
L’enfer de l’amour est un onzième tome très rythmé, qui renouvelle un peu les intrigues des enquêtes d’Agatha Raisin. Les fans l’auront déjà lu.
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Mais enfin, il devait le savoir qu’on ne faisait pas obéir Agatha à la baguette !!! 😀 Macho man, va !
Et bien non, il ne le savait pas ! Oui !!!!
Je vais moins l’aimer, je le sens bien 👿
James n’est franchement plus vraiment attachant. Mais Agatha, parfois, non plus !
Des envies de meurtres sur les personnages ?? 😆
Agatha est tout de même très fréquemment victime de tentative de meurtre, même James ne fait pas exception !
Elle les attire comme la foudre 😆
Oui ! Il faudrait peut-être qu’elle porte un pull avec une cible dessus, ce serait plus simple.
PTDR 😆
Cela faciliterait tout de même les choses !
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