Meilleurs voeux pour 2023 ! Bonheur et santé !
Avec Annunziata, 12 ans, Lisette, 7 ans, Pompadour, trois ans et Azuro de l’arbre à chat cinq mois.
Meilleurs voeux pour 2023 ! Bonheur et santé !
Avec Annunziata, 12 ans, Lisette, 7 ans, Pompadour, trois ans et Azuro de l’arbre à chat cinq mois.
Je serai brève : cela fait trois semaines que ma connexion internet est aléatoire, et ce n’est rien de le dire.
Parfois, la connexion « lâche » au bout de trois minutes. Pour la mise à jour du challenge, c’est donc très compliqué – même pas le temps d’ajouter un lien parfois, je sais, je viens d’en faire l’expérience. Il est rageant de constater la disparition de quatre liens parce que la connexion a « rompu ».
Alors, heureusement, certains jours, tout va bien.
D’autres, non.
Bref, il fait déjà très chaud sur la Normandie (note, les problèmes viennent souvent quand il fait très chaud) mais là, cela m’agace fortement. Et ce n’est rien de le dire.
Pardon ? Il y a des problèmes plus importants ? J’en sais quelque chose ! Mais aller sur internet, écrire des articles est vraiment pour moi un moyen pour décompresser.
Bonjour
La nuit a été compliquée, mais le réveil a été plus facile.
Gino (anciennement Samy, il accumule tellement de catastrophe que nous avons décidé de lui changer de prénom, Gino est un hommage à Gino Cervi) a « dégonflé » ce matin, le traitement d’urgence a donc été efficace.
Fidélio, lui, a été réhydraté. Il veut téter ? Il a eu des biberons. Trois. Il les a tous bus.
Quant à Canaillou, il a fêté dignement son premier anniversaire avec Ruby, qui, sinon, est très occupée à réconforter les chatons.
Bonne soirée à tous.
Bonjour
Comme souvent, la nuit a été compliquée.
J’ai beau faire les comptes, cela va faire deux mois ou presque que Samy et Fidélio sont malades, avec des hauts et des bas, c’est à dire c’est toujours au moment où je crois que tout va enfin bien que je m’aperçois que quelque chose ne va pas. Je ne parle même pas de l’état de leur pelage, ils ont tous les deux pris une option » poils rêches ». En revanche, Lucianna et Lorient, les deux plus costauds de la portée, ceux qui ont été le moins touchés par le virus, n’ont jamais eu de rechute significative, c’est à dire le genre de rechute qui vous tient éveillée une bonne partie de la nuit en espérant que cela ira mieux, que les médicaments vont faire effet, que l’inhalation va soulager – et la pommade pour les yeux aussi.
Je ne parle pas non plus de l’alimentation : ils avaient trois semaines quand je les ai trouvés, et à cet âge, c’est biberon.
Je ne parle même pas des énormes carences affectives de Fidélio parce que là, c’est compliqué.
Fidélio cherche des « mamans » de substitution et tète tout ce qu’il peut téter, tous les chats qui veulent bien l’être.
Le chat qui est sur la photo avec lui, c’est Canaillou. Il fête ses un an aujourd’hui. L’an dernier, à 13 h 30, sa maman Pompadour faisait une hémorragie, qui nous entraînait tout droit chez le vétérinaire, surtout que l’hémorragie avait entraîné l’arrêt du travail. Le vétérinaire nous avait rassurées, nous avait dit, à 17 heures, que le travail avait repris, que Pompadour allait bien, et qu’il ne restait plus qu’à attendre. Canaillou, unique et énorme chaton, est né à 21 h 30, faisant la taille d’un chaton de deux semaines, après une heure trente de contraction intense pendant lesquelles Pompadour ne voulait pas que je la quitte.
KODAK Digital Still Camera
Ses caractéristiques ? De très grandes griffes, qu’il peine toujours à rentrer.
Avec Ruby, sa soeur adoptive. Je vous rassure, pendant que je vous écris, ils ont toujours très très proches.
Bon mardi à tous, j’y retourne !
Bonjour à tous
Je vous parle d’eux, des soins qu’ils sont depuis un mois. Il est vrai qu’être trouvés dans ma cour à l’âge de trois semaines sous un orage n’est pas vraiment le meilleur début pour une « adoption ».
Voici une photo prise aujourd’hui de Lucianna, la seule fille de la portée.
Bonne journée à tous.
Je vous souhaite à tous un joyeux Noël 2021 !
L’an dernier… je pensais que la situation sanitaire s’améliorerait, et cette année, j’ai l’impression que c’est tout sauf le cas. Oui, je ne pouvais pas ne pas évoquer la situation sanitaire.
Voici un an, je ne pensais pas que la famille-chat s’agrandirait à nouveau avec Canaillou et Ruby (ici, avec Pompadour leur maman, biologique pour l’un, adoptive pour l’autre).
PS : ceux qui suivent mon autre blog se disent peut-être que j’ai oublié Célestine. Oui, un peu. Mais Célestine est davantage le chaton de ma maman que le mien, sa naissance a été sans problème, alors que Pompadour n’a pas voulu que je la quitte pendant les heures qu’ont duré le travail et la naissance de Canaillou.
Passez tous une bonne journée. Prenez soin de vous et de vos proches.
Par où commencer ce texte qui parle d’écriture, de mon écriture, sur mon second blog ?
Je le commence par un constat : je ne décris pas, ou les décris peu, mes personnages. Je ne ressens pas le besoin d’arrêter le récit, l’action, les dialogues pour dire : « le principal portant ce jour-là…. des vêtements. » Je ne le fais pas parce que je trouve que cela alourdit l’action, et je n’ai pas besoin de disserter sur la silhouette de rêve/bien conservé/bien entretenu du héros ou de l’héroïne. Si je garde le souvenir d’un roman que j’ai lu pendant mes vacances, c’est non à cause de son intrigue, mais à cause de la description, dans les toutes premières pages, de son héroïne qui, ô surprise, se regarde dans le miroir avant d’ouvrir la porte qui a sonné et nous gratifie ainsi de sa description exhaustive – à croire qu’elle avait oublié à quoi elle ressemblait ou ce qu’elle avait mis le matin.
C’est une anecdote parmi d’autres. Il est des descriptions qui « passent » mieux. , si les robes de Charlotte Pitt sont si souvent décrites, c’est aussi pour montrer la différence entre les tenues (souvent prêtées par sa soeur) qu’elle doit mettre afin de se rendre dans le « beau » monde, celui qui était le sien avant son mariage.Ainsi, dans la récit de romans policiers que je lis, ce sont davantage les expressions des personnages qui sont décrites, leurs réactions face aux questions qui leur sont posées que leur tenue ou leur silhouette.
Oui, je reviens sur la silhouette parce que c’est elle qui intéresse beaucoup les auteurs. Surtout la silhouette des femmes, forcément. Surtout si les femmes ont eu des enfants, ont dépassé la trentaine/la quarantaine – passé le cap des cinquante ans, on se moque éperdument de la silhouette des femmes, comme si elles avaient dépassé la date d’utilisation requise. Oui, pour me faire fuir, en temps que lectrice, décrivez-moi une femme qui « prend soin d’elle » bien qu’elle ait des enfants, avec tous les détails à la clé, qui a su se débarrasser de ses kilos de grossesse, ou, au contraire, qui en a gardé « les stigmates ». Je pourrai terminer en disant que nous, les femmes, avons encore du travail pour que notre corps cesse d’être scruté pour un oui, pour un non, pour que l’on (homme et femme) comprennent que le corps des femmes n’est pas du domaine public et que l’on ne doit rien à personne, aucune justification. Je poursuivrai le raisonnement en me demandant ce qu’apporte le fait que l’héroïne soit bien conservée ou non. Que faut-il en déduire ? Bien conservée, elle a droit à une médaille, à une vie sentimentale bien remplie ? Si jamais un drame surgit dans sa vie, elle l’aura moins « mérité » qu’une femme qui aura un physique moins dans la norme ? Je n’ai pas les réponses, je soulève simplement ces questions.
Je n’ai en effet pas évoqué que physique des personnages masculins, parce que je n’ai jamais vu un personnage masculin se planter devant une glace page 1 et détailler son physique. L’indulgence semble davantage de mise, comme si l’apparence physique « dégradée », chez un homme, ne pouvait avoir que deux causes : un accident dont il se serait remis avec courage, ou l’excès de boisson. L’homme vieillit, la femme ne s’est pas assez bien entretenue.
Bonjour à tous
Cela ne vous aura pas échapper : c’est déjà la rentrée littéraire 2021. Les libraires (en tout cas hier) remplissaient leurs rayons de livres nouveaux.
J’ai pris un peu mes distances avec la rentrée littéraire depuis quelques années, parce que j’aime de moins en moins l’idée que le livre est un produit périssable. Je ne me leurre pas : déjà qu’il a été classé parmi les produits « non essentiels », il a aussi une date de péremption. Il suffit de voir à quel point il peut être difficile de se procurer un livre, surtout un livre de littérature jeunesse, quelques années après sa parution (pour certains titres, quelques mois, cela fonctionne aussi). Je vais donc lire quelques livres de la rentrée littéraire, des livres de littérature « blanche », mais surtout des romans de littérature jeunesse et des romans policiers.
Je note sur cet article mes lectures au fur et à mesure (parce qu’il n’y en aura sans doute pas une centaine) et je cesserai de les noter quand commencera la rentrée littéraire … 2022. Bref, je ne suis pas pressée.
J’ai donc lu :
– littérature « blanche » :
Une folie de rêves par Jean-Daniel Baltassat, un roman de 604 pages qui m’a beaucoup plu et que je ne posais qu’à regret.
– littérature jeunesse :
L’Éveil des sorcières, tome 1 : L’Apprentissage de Nora par Cordélia , premier tome d’une trilogie dont je lirai les deux tomes suivants. Et j’espère bien que des salons du livre me permettront de rencontrer l’autrice !
Bonjour à tous
Oui, j’ai déjà écrit un billet ce matin, et je m’apprêtais à écrire un nouvel avis (la période de déconfinement, entre cours à distance et cours en présentiel s’avérera sans doute compliquée à gérer, je verrai bien), et boum ! J’ai ressenti le besoin de rédiger ce qui sera sans doute mon seul billet strictement de confinement.
Quel bilan, d’abord, de ce confinement ?
Beaucoup de cours à distance, et d’échange à distance avec mes élèves – ou neuf heures par jour devant l’écran les jours de « pic », ça use, ça use. Je ne vous parle même pas de l’imprimante et du scanner. L’une de mes premières sorties de déconfinement sera d’ailleurs pour compléter mon matériel informatique.
Pour la lecture, je savais déjà en commençant le confinement que cela serait rude, donc, contrairement à d’autres, je n’ai pas dresser de piles à lire, je ne savais pas vers où me mèneraient mes envies, ou plutôt mes non-envies de lectures. Je ne me suis rien interdit – confinée chez moi, j’ai fait avec les livres (nombreux) à ma disposition, mes partenariats en cours ou qui ne sont noués spécialement pendant le confinement. Oui, j’ai vu passer de vertueuses personnes dire que, pendant le confinement, demander des partenariats, « c’est pas bien ». Je n’ai pas demandé, on m’a proposé, et j’ai dit oui. J’ai aussi lu beaucoup de livres grâce à Netgalley, des livres que je n’aurai sans doute jamais lus sans le confinement.
Cela m’amène vers le troisième sujet, tous ces confinés qui au lieu de vivre leur confinement de leur mieux, l’ont vécu en se faisant prescripteur/censeur de ce qui se faisaient ou pas, les journaux féminins en première ligne. Les injonctions pour les hommes ? Aucune. Les injonctions pour les femmes ? Alors, rester belles, douces, dans tous les sens du terme (articles faciles à retrouver si on cherche un peu), faire du sport (après le télé-travail et les soins aux enfants, bien sûr) et dernière cerise sur le gâteau pour les célibataires : grâce au confinement, elles vont pouvoir réfléchir et ainsi être prêtes à se mettre en couples. Pour faire court (et cela va très bien avec le livre que je suis en train de lire), peu importe qu’elle soit avec le « Prince des Tocards », une femme seule n’a pas lieu d’être, elle est forcément malheureuse, même si « ce n’est pas sa faute » (là, je cite une femme célibataire de ma connaissance).
Je reviens aux livres, heureusement, parce que le confinement m’aura permis, par la grâce des éditions Glénat, Ataka et PIka (et d’autres encore, mais je ne les ai pas lus) de relire des mangas en ligne, simplement pour le plaisir de lire ainsi. Je pense aussi aux maisons d’éditions comme Palémon, les éditions du chat noir, Flamant noir qui m’ont accompagné pendant le confinement, et à qui je ferai sans aucun doute des commandes prochainement (oui, on peut commander directement sur leur site, pas besoin de passer par A**z**e).
J’oubliai : j’ai enfin fait des cookies ! Trois ans que je le disais (au mois).
Nous traversons actuellement un événement tel que je suis passée à côté des dix ans de mon blog – ou plutôt de mes blogs, celui-ci n’est réellement actif que depuis septembre 2012.
Mon premier article de blog c’était Les âmes croisées de Pierre Bottero.
Le tout dernier en date, c’est Waiting for spring tome 1 d’Anashin, un manga, alors que, voici dix ans, je ne lisais pas de mangas.
Trois de mes chats actuels étaient déjà présents voici dix ans : Hastings, Rossignol et Annunziata. Blanche-Neige avait trois ou quatre ans, mais à l’époque, elle ne m’appartenait pas.
Dans les jours à venir, encore beaucoup de mangas seront chroniqués, d’autres livres peut-être aussi, si j’ai le courage de rédiger mes avis.
Je n’ai garde d’oublier les petites dernières :
A l’année prochaine (sans confinement, si possible).