Archives

Oui, nous sommes le 1er avril mais…

je constate que le régime livresque, c’est une chose, l’envie de lire et surtout d’écrire, s’en est une autre.

Même au plus fort des multiples corrections, soucis félins et personnels, j’ai tout de même écrit des avis, là, non.

J’abandonne donc lâchement le défi « plus d’achats avant le 7 avril ».

En même temps, il ne reste que six jours.

Et la liste des auteurs prévus ne m’enchante guère…..

Billet futile : régime livresque.

Bonjour à tous

Non, je vous rassure, je ne vais pas arrêter de lire ou de chroniquer.
Je veux simplement… faire une pause dans mes achats.
Parce que j’ai beaucoup acheté de livres. Beaucoup.
C’est ce que j’appelle la « boulimie livresque », la peur de manquer de livres alors que je croule littéralement sous les livres.
Je vais donc essayer, dans un premier temps, de ne pas acheter de livres jusqu’au prochain salon du livre auquel je pense me rendre – le 7 avril.
Puis, j’espère n’y acheter que quatre livres (c’est faisable).
Puis, j’espère tenir bon à nouveau jusqu’au 12 mai (vous l’aurez deviné, le salon du livre suivant. Je suis plus confiante pour les achats pour celui-ci, parce qu’il m’est arrivé de repartir avec un seul achat effectué).
Par contre, je ne m’interdis pas d’emprunter des livres à la bibliothèque ! Ni de recevoir des SP : j’ai participé à Masse critique ce soir, mais je ne pense pas être sélectionné (un comble, quand on sait que c’est la masse critique mauvais genre).
Par contre, je ne suis pas certaine de faire baisser énormément ma PAL, qui a atteint des hauteurs stratosphériques. Ce n’est pas le but. Juste… ne plus céder à chaque tentation livresque.

Billet (un peu) futile : cinéma et citations.

J’avertis dès le titre, comme cela, vous pouvez passer votre chemin si vous n’aimez pas les futilités.

Non, je ne parle pas de mes chats, ce n’est pas un sujet futile !

Aujourd’hui, je suis allée au cinéma, et je me suis décidée à racheter une carte « dix entrées ». Je n’avais plus de « tickets » depuis août. L’ouvreur (je maîtrise mal les termes techniques) me file à la place une carte fidélité « à activer en ligne » et sur laquelle il a mis les dix places. « Vous allez souvent au cinéma. Ce  n’est pas une question. Non, parce que, pour acheter une carte dix places, vous allez forcément SOUVENT au cinéma ». (euh…. la carte est valable un an donc techniquement, je peux très bien n’y aller qu’une fois par mois pendant dix mois).

Si j’ai parlé cinéma, c’est que je suis en pleine écriture de billets en retard, et que je voulais mettre en avant cette citation d’un très grand acteur français, citation que j’ai entendu pour la première fois lors d’un festival de Cannes où le film dans lequel il jouait fut abondamment hué, citation qui, je dois le dire, guide mes critiques de films (et aussi les critiques de livres, si l’on remplace « cinq minutes » par « cinq pages ») :

« J’ai toujours préféré 5 minutes sublimes dans un prétendu navet à 90 minutes banales , sans éclat , dans un film réputé  » bien  » . Je défendrai toujours le moment de génie d’un Francis Blanche , d’un Fernandel , d’un Jules Berry dans un film classé  » alimentaire  » ( par ceux qui pensent manger raffiné tous les jours , je suppose ) à une de ces oeuvres intouchables qui suintent l’ennui et la fausse sincérité . » (Vous avez dit Serrault ? de Michel Serrault). 

Tout cela pour dire que j’ai visionné aujourd’hui, dans une salle quasiment pleine, The old Oak de Ken Loach, que je ne lirai pas les critiques de ce film, mais que les cinq minutes étaient bien là (et le film est loin d’être un navet). Je dis aussi que, dans la rangée où j’étais, beaucoup de « reniflements » ont accompagné la fin du film (et tant pis pour ceux qui, en sortant, disaient « je n’ai rien compris »).

Mon année cinéma : La beauté du geste

Bonjour à tous

Finalement, j’ai vu un dernier film avant la reprise, qui m’angoisse beaucoup : nouveau défi cette année, je deviens (pour un an ? pour plus longtemps ?) professeure principale de 3e. J’aurai à nouveau de cinquième, ce niveau qui fut pendant des années, pour ne pas dire une grosse décennie, mon niveau préférée, au point que j’eus, une année, la moitié des cinquièmes de l’établissement. Je n’aurai pas de 4e cette année, mais ce ne sera que partie remise. Mon cartable (rouge) est prêt, avec le nouvel agenda, cahier de grammaire et autres carnet dont je me sers pour noter mes progressions. Ce n’est pas de reprendre, c’est de ne plus pouvoir rester autant de temps que je le voulais avec mes chats (Ambre est allongé à mes côtés, Annunziata est installée auprès de Sultan, Odabella ronfle, Fidélio s’est mis les orteils de la patte arrière dans les narines), surtout s’ils ne sont pas en forme (un blessé ce jour, Charmeur, qui souffre déjà de troubles neurologiques).

Mais revenons à la beauté du geste, film japonais. Voici son synopsis : Keiko vit dans les faubourgs de Tokyo où elle s’entraîne avec acharnement à la boxe. Sourde, c’est avec son corps qu’elle s’exprime. Mais au moment où sa carrière prend son envol, elle décide de tout arrêter…

Comme souvent, j’ai lu les critiques après avoir vu  le film, après avoir constaté à quel point elles n’étaient pas bonnes sur Allociné, alors que la critique de Première l’était.

Je ne regrette pas d’avoir vu ce film (en VO), j’ai aimé ce film, cette histoire simple qui montre à la fois la fin d’une époque (la salle de boxe où s’entraine Keiko ferme définitivement alors qu’elle était la plus ancienne du Japon) et le début, peut-être, d’une nouvelle vie pour Keiko. Sourde, elle est la première femme handicapée à obtenir une licence de boxeuse professionnelle. Mais elle veut tout arrêter. Keiko (du moins, c’est mon opinion) ne semble pas avoir pour but de devenir championne, je dirai plutôt que la boxe, la routine de l’entraînement, dont elle note chaque étape quotidiennement, l’aide à se structurer, à exprimer ce qu’elle ressent, elle qui ne s’exprimer que par la langue des signes (le seul mot qu’elle prononce est « oui »). Le Covid complexifie sa vie, elle ne peut plus lire sur les lèvres.

C’est un film sur le quotidien, plein de petits riens, de ces gestes qu’il faut faire et refaire, un film plein de l’anxiété de Keiko aussi quand son entraîneur de toujours tombe malade, ou plutôt rechute, lui qui avait déjà été victime d’un AVC dix ans plus tôt.

Pas de musique dans ce film, sauf (et encore) celle que joue le frère de Keiko, simplement le bruit des corps, leur déplacement, le bruit des coups aussi, et les conséquences sur les corps – ni Keiko ni ses adversaires ne craignent de se faire mal.

Ci-dessous, la bande-annonce.

Bonne année 2023 !

Meilleurs voeux pour 2023 ! Bonheur et santé !
Avec Annunziata, 12 ans, Lisette, 7 ans, Pompadour, trois ans et Azuro de l’arbre à chat cinq mois.

 

 

 

Problèmes de connexion internet

Je serai brève : cela fait trois semaines que ma connexion internet est aléatoire, et ce n’est rien de le dire.

Parfois, la connexion « lâche » au bout de trois minutes. Pour la mise à jour du challenge, c’est donc très compliqué – même pas le temps d’ajouter un lien parfois, je sais, je viens d’en faire l’expérience. Il est rageant de constater la disparition de quatre liens parce que la connexion a « rompu ».

Alors, heureusement, certains jours, tout va bien.

D’autres, non.

Bref, il fait déjà très chaud sur la Normandie (note, les problèmes viennent souvent quand il fait très chaud) mais là, cela m’agace fortement. Et ce n’est rien de le dire.

Pardon ? Il y a des problèmes plus importants ? J’en sais quelque chose ! Mais aller sur internet, écrire des articles est vraiment pour moi un moyen pour décompresser.

3 août 2022

Bonjour

La nuit a été compliquée, mais le réveil a été plus facile.

Gino (anciennement Samy, il accumule tellement de catastrophe que nous avons décidé de lui changer de prénom, Gino est un hommage à Gino Cervi) a « dégonflé » ce matin, le traitement d’urgence a donc été efficace.

Fidélio, lui, a été réhydraté. Il veut téter ? Il a eu des biberons. Trois. Il les a tous bus.

Quant à Canaillou, il a fêté dignement son premier anniversaire avec Ruby, qui, sinon, est très occupée à réconforter les chatons.

 

Bonne soirée à tous.

2 aout 2022

Bonjour

Comme souvent, la nuit a été compliquée.

J’ai beau faire les comptes, cela va faire deux mois ou presque que Samy et Fidélio sont malades, avec des hauts et des bas, c’est à dire c’est toujours au moment où je crois que tout va enfin bien que je m’aperçois que quelque chose ne va pas. Je ne parle même pas de l’état de leur pelage, ils ont tous les deux pris une option  » poils rêches ». En revanche, Lucianna et Lorient, les deux plus costauds de la portée, ceux qui ont été le moins touchés par le virus, n’ont jamais eu de rechute significative, c’est à dire le genre de rechute qui vous tient éveillée une bonne partie de la nuit en espérant que cela ira mieux, que les médicaments vont faire effet, que l’inhalation va soulager – et la pommade pour les yeux aussi.

Je ne parle pas non plus de l’alimentation : ils avaient trois semaines quand je les ai trouvés, et à cet âge, c’est biberon.

Je ne parle même pas des énormes carences affectives de Fidélio parce que là, c’est compliqué.

Fidélio cherche des « mamans » de substitution et tète tout ce qu’il peut téter, tous les chats qui veulent bien l’être.

Le chat qui est sur la photo avec lui, c’est Canaillou. Il fête ses un an aujourd’hui. L’an dernier, à 13 h 30, sa maman Pompadour faisait une hémorragie, qui nous entraînait tout droit chez le vétérinaire, surtout que l’hémorragie avait entraîné l’arrêt du travail. Le vétérinaire nous avait rassurées, nous avait dit, à 17 heures, que le travail avait repris, que Pompadour allait bien, et qu’il ne restait plus qu’à attendre. Canaillou, unique et énorme chaton, est né à 21 h 30, faisant la taille d’un chaton de deux semaines, après une heure trente de contraction intense pendant lesquelles Pompadour ne voulait pas que je la quitte.

KODAK Digital Still Camera

Ses caractéristiques ? De très grandes griffes, qu’il peine toujours à rentrer. 

Avec Ruby, sa soeur adoptive. Je vous rassure, pendant que je vous écris, ils ont toujours très très proches. 

Bon mardi à tous, j’y retourne !

Les chatons de la haie

Bonjour à tous

Je vous parle d’eux, des soins qu’ils sont depuis un mois. Il est vrai qu’être trouvés dans ma cour à l’âge de trois semaines sous un orage n’est pas vraiment le meilleur début pour une « adoption ».

Voici une photo prise aujourd’hui de Lucianna, la seule fille de la portée.

 

Bonne journée à tous.

Joyeux Noël 2021 !

Je vous souhaite à tous un joyeux Noël 2021 !

L’an dernier… je pensais que la situation sanitaire s’améliorerait, et cette année, j’ai l’impression que c’est tout sauf le cas. Oui, je ne pouvais pas ne pas évoquer la situation sanitaire.

Voici un an, je ne pensais pas que la famille-chat s’agrandirait à nouveau avec Canaillou et Ruby (ici, avec Pompadour leur maman, biologique pour l’un, adoptive pour l’autre).

PS : ceux qui suivent mon autre blog se disent peut-être que j’ai oublié Célestine. Oui, un peu. Mais Célestine est davantage le chaton de ma maman que le mien, sa naissance a été sans problème, alors que Pompadour n’a pas voulu que je la quitte pendant les heures qu’ont duré le travail et la naissance de Canaillou.

Passez tous une bonne journée. Prenez soin de vous et de vos proches.