Mon résumé :
Tuffy est de retour ! Et la situation n’est pas des plus réjouissantes pour lui.
Mon avis :
Tuffy avait pourtant déjà commis maintes bêtises, et si vous suivez cette série, vous le savez aussi bien que moi : à maintes reprises, il a été menacé d’expulsion, ou renvoyé dans le garage. Là, il semblerait que ce soit sérieux : même Ellie se verrait bien avec un autre chat, plus doux, plus gentil, plus sociable que son Tuffy.
Et là, s’en est trop ! Plutôt que d’être « adopté par une autre famille », Tuffy choisit de partir de lui-même, faisant d’émouvants adieux à ce qui l’entoure :Adieu chaussons. Si je devais pleurer une larme en mémoire de chaque souris morte que j’ai cachée chez vous pour effrayer Monsieur Oh-quelle-horreur-mais-qu’est-ce-que-c’est, alors une rivière coulerait sous ce lit. Au revoir.
C’est l’occasion pour le lecteur de découvrir que Tuffy ne sévit pas seulement chez lui, mais dans tout le voisinage. C’est l’occasion aussi de montrer ses meilleures techniques pour trouver à manger sans se rabaisser à engloutir souris et autres oiseaux – les poils et les plumes, non merci. Plus encore, l’auteur montre ainsi que l’aura de Tuffy dépasse de loin sa maison, tout le quartier le connaît et l’apprécie à sa juste valeur – je vous laisse deviner laquelle.
Pour conclure : Tuffy, reviens !