Le chat qui remontait la rivière

Mon résumé :

Qwilleran et ses siamois louent un bungalow, non loin d’une rivière… Un coin paisible…. Pas pour longtemps.

Mon avis :

Revoici Qwilleran ! Polly est partie en vacances, elle lui envoie régulièrement des cartes postales dans lesquelles elle se réjouie de son périple et des rencontres qu’elle fait tandis que Qwill… ressent le besoin de s’aérer un peu. Quoi de mieux que de louer un bungalow, entouré de charmants voisin ?

Autant vous le dire tout de suite, ce n’est pas l’aspect policier qui l’emporte – même si l’intrigue comporte deux meurtres, un suicide et une crise cardique, ce qui fait beaucoup pour une seule intrigue.

Et pourtant, l’intérêt n’est pas là, il est dans les anecdotes que Qwill collecte pour son journal – mais aussi pour son plaisir. Il aime à se pencher sur la vie des pionniers, que des passionnés s’évertuent à reconstituer dans des spectacles bon enfant. Il est bon de voir à quel point une histoire peut être différente, selon les personnes par qui elle a été transmise. Il est intéressant de voir que la ruée vers l’or n’est pas seulement un souvenir vivace, ancrée dans la mémoire collective, mais une réalité. Je ne vous parle même pas de la dangerosité inattendue de certains métiers, ou des angoisses d’une amie proche de Qwilleran, qui est pourtant loin d’être superstitieuse.

Le chat qui remontait la rivière est un roman sympathique et agréable à lire, surtout pour les amateurs de chats… et d’écureuils.

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2 réflexions sur “Le chat qui remontait la rivière

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