Présentation de l’éditeur :
Plongez dans les bas-fonds d’Arkantras, où le danger se cache à chaque coin de rue…
Depuis quelque temps, une menace plane sur les bas quartiers d’Arkantras… Le bruit court qu’une créature avide de chair humaine enlèverait les enfants à la nuit tombée pour les dévorer. Que diable, Rowena, jeune orpheline passionnée de mécanique, se moque bien de ces histoires à dormir debout ! Jusqu’au jour où son ami, Œil-de-Pirate, disparaît lui aussi dans d’étranges circonstances… Résolus à le retrouver, Rowena et son fidèle chat à la patte mécanique, Monsieur Gratouille, s’enfoncent dans les profondeurs d’Arkantras. De son côté, Eugène Bassompière, un journaliste issu de la bonne société, se voit chargé d’enquêter sur ces disparitions. Sur les traces du monstre, les destins d’Eugène et Rowena vont s’entremêler. Que se passe-t-il réellement dans la ville ? Et si la vérité s’avérait pire que tout ce qu’ils pouvaient imaginer ?
Plongez dans les bas-fonds d’Arkantras, où le danger se cache à chaque coin de rue…
Mon avis :
Merci aux éditions Scrineo et à Netgalley pour ce partenariat.
J’espère que ce livre est le dernier qui appartient à la série « je l’ai lu, mais à une époque où j’avais du mal à rédiger mes chroniques ». Ce serait bien !
Rowena et Eugène sont deux personnages que rien ne destinait à se rencontrer, et que le destin va réunir. Rowena est orpheline, et elle a bien l’intention de ne pas se retrouver enfermer à nouveau dans un orphelinat. Son compagnon, c’est monsieur Gratouille, ex-chaton orphelin qu’elle a sauvé et à qui elle a confectionné une patte mécanique. Elle vit de débrouilles, rémunère ceux qui l’aident à dissimuler ses activités – dans les bas-fonds de la société, la police n’est pas là pour aider les indigents. Eugène Bassompière, lui, vient plutôt de haut, de très haut. Il a voulu dénoncer ce qui se passait dans la bonne société, et il est redescendu assez bas. Il n’a en tout cas plus qu’un ami, qui lui vient en aide de temps en temps. Il lui faut se refaire, prouver qu’il est un journaliste digne de ce nom. Pour cela, il doit enquêter sur une affaire de disparitions qui a lieu dans les bas-fonds, affaire qui concerne les amis de Rowena : plusieurs enfants ou de tout jeunes adolescents ne sont pas rentrés chez eux après une journée de travail.
Voir la police ne rien faire peut sembler étonnant, l’on peut se dire : « nous sommes dans un univers steampunk ». Et pourtant… je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec des affaires bien réelles, dans lesquelles la police ne s’est absolument pas donné la peine de lever le petit doigt (voir Les oiseaux chanteurs de Christy Lefteri pas si loin de nous dans le temps et dans l’espace). Il est aussi question d’un monstre qui enlèverait ses enfants. Mais qu’est-ce qu’un monstre, exactement ? Un être fantastique et terrible ? Un être dont l’apparence et/ou le comportement l’écarte des normes de la société ? Pour l’apparence, cela fait des années que je me tue à répéter qu’il ne faut surtout pas se fier à elle, qu’il faut toujours aller au-delà. Pour le comportement, malheureusement, l’on n’est jamais déçu, même si l’apparence de celui ou celle qui se comporte monstrueusement peut être tout à fait ordinaire, insoupçonnable. J’ai vraiment été bluffée par certaines péripéties, que je n’ai absolument pas vu venir. Le courage de Rowena, l’honnêteté d’Eugène sont des qualités rares que peu sont en mesure d’apprécier dans ce récit. Il faut dire que nous trouverons des personnes tellement retorses que l’on peut bien se demander comment l’on peut en venir à raisonner ainsi.
Le tome 2 devrait paraître en août, je ne manquerai pas de le lire.
Bon, j’espère que tu passeras cette mauvaise passe de « j’ai du mal à rédiger mes chroniques »
Elle a duré assez longtemps, malheureusement, je rattrape des lectures faites il y a trois mois. Maintenant, c’est différent : je manque de temps (je viens de terminer les brevets blancs et les conseils de classe débutent bientôt).
oh purée, vivement juillet, alors !
Oui, sauf grosse catastrophe personnelle. Sauf si je suis rappelée pour harmoniser les notes. Sauf si des ateliers de rattrapage sont organisés cet été.
Oh putain, les galères !
Et encore, je ne raconte pas ma brillante journée de mardi.
Oh merde alors… je ne te parlerai pas de ma brillante journée de lundi… la galère !
Oui, j’aspire au calme, et je ne l’ai pas. J’espère que cela va mieux de ton côté.
Oui et non… toujours le neveu à l’hosto, il a le moral dans les chaussettes, faut le motiver, tout le monde est sur les rotules et pour lundi, je te raconterai ça demain via MP…
Mince ! Rotules aussi, pour des raisons familiales et professionnelles.
Heureusement que je récupère assez vite, mais sinon, j’y serais aussi ! J’ai fini certaines journées crevée, fatigue mentale, pas physique, la pire !
Je récupère très mal parce que je dors mal. Ce midi, j’ai rempli les compétences des 3e, puis je corrige les deux paquets de copies qui me restent. Ce soir, vétérinaire. Ma mère m’a tenue au courant des soucis félins. Bref, tout va bien.
Ah la merde, si on dort mal et qu’on ne sait pas récupérer avec une micro sieste l’après-midi, on est foutu, on ne récupère jamais