Présentation de l’éditeur :
Dans le petit port de Bermagui, sur la côte sud-est australienne, deux femmes sont inquiètes. Marion Spinks attend avec sa mère le retour de Bill, son frère jumeau Il est parti à bord du « Do-me », à la pêche au gros vers le récif des espadons avec son riche client, M. Ericson. Le bateau reste introuvable et les pires hypothèses se font jour : a-t-il brûlé, a-t-il rencontré une baleine? La découverte d’une bouteille Thermos appartenant à Bill confirme le naufrage et quelques semaines plus tard, un chalutier repêche la tête d’Ericson criblée de balles. Sous l’identité d’un éleveur du Nord, venu passer de longues vacances, l’inspecteur Napoléon Bonaparte débarque à Bermagui pour élucider ce meurtre et découvrir ce qu’est devenu le bateau disparu.
Mon avis :
Que s’est-il passé à bord sur Do-Me, ce bateau que Bill a construit de ces mains, d’où ce nom, Do-me ? Nul ne le sait. M. Ericson a été assassiné, cela ne laisse aucun doute, mais par qui ? Et pourquoi ? Et Bony d’enquêter, pour que justice soit rendue. Il enquête parce qu’il est policier, il enquête aussi parce que Marion est persuadée que son frère jumeau est toujours en vie, au nom de ce rapport si fort qui les unit depuis toujours. Marion possède ce que personne d’autres à Bermagui ne possède : l’espoir. Il est si rare de pouvoir enquêter pour quelqu’un qui ne pense pas qu’il y aura bientôt une victime de plus, mais que peut-être, un jour prochain, on comptera une victime de moins.
Dans les romans d’Arthur Upfield, les personnages sont véritablement construits de manière à ce que le lecteur puisse les connaître, et s’attacher à eux. Pour Bill, pour Marion, pour l’homme qui aime Marion et qui sait que sans son frère, la jeune femme ne lui accordera jamais sa main, on a envie d’une fin heureuse – en dépit ce tout ce qui s’est passé, en dépit de tous les indices qui indiquent qu’une fin tragique a sans doute eu lieu pour tous les marins. En effet, qu’est-ce qui peut bien empêcher leur retour depuis si longtemps ? Pas les espadons tout de même !
Il est intéressant de voir Bony en dehors de son élément naturel, c’est à dire en dehors du bush. Il apprend, tout en enquêtant, et fait découvrir aux lecteurs une autre facette de l’Australie.
Je suis tentée de le noter, mais bon, tu connais ma PAL 😉
Et oui ! Le genre de montagne qu’il est plus facile de faire grimper que de descendre.
En montagne, la descente fait plus mal aux muscles que la montée car on n’utilise pas les mêmes muscles, on fait travailler ceux qui ne bossent pas beaucoup.
Sauf si comme dans le polar que je suis en train de lire, on te fait descendre bien plus vite que prévu !
ouille, ouille, ouille ! Là, on aura mal partout partout 😦
Oui, c’est vraiment douloureux !
Brrrr, j’en tremble !
Et tu n’as pas tort de trembler.
J’avais froid aux pieds ! mdr
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