Présentation de l’éditeur :
La pâtissière Julie Cavallo se rend à Cassis pour rencontrer la famille de son petit ami gendarme.
Les parents de Gabriel Adinian ont hâte de faire sa connaissance.
Petit bémol, il a omis de les informer qu’elle jouait les détectives privés à ses heures.
L’autre hic est qu’il n’a pas préparé Julie à leur extravagance. Et encore moins à ce qu’elle doive leur faire face seule pendant qu’il bosse sur un meurtre.
Il va sans dire que Julie se retrouve entraînée dans les embrouilles familiales de Gabriel – et dans son enquête!
Cette dernière devient soudainement une priorité absolue.
Une course contre la montre s’enclenche.
Des vies sont en jeu…
Mon avis :
Je suis actuellement en pleine exploration de tous les livres qui sont dans ma PAL, et aujourd’hui, j’ai jeté mon dévolu sur une acquisition assez récente, Un Noël (peu) orthodoxe. Les deux premières enquêtes de Julie sont dans ma PAL elles aussi, mais je ne les ai pas encore lues. Ce n’est pas grave, cela ne m’a pas du tout gêné.
Comme le titre l’indique, nous sommes en pleine période de Noël, et c’est ce qui sera finalement le coeur de cette intrigue : la célébration de Noël en famille, l’occasion de revoir les membres de sa famille que l’on n’a pas pu voir depuis longtemps, celle aussi de présenter à sa famille sa compagne, et d’échanger autour de traditions différentes. En effet, les parents de Gabriel Adinian sont d’origine arménienne, et fêtent Noël le 7 janvier. J’admets avoir apprécier le défilé de mets qui nous est proposé, sans pour autant que cela fasse « trop » : célébrer Noël dans la tradition, avec des mets choisis et aimer, oui, se goinfrer, non.
Le récit est raconté par Gabriel, et il a quelques sueurs froides : il connaît à la fois sa famille, si particulière, et Julie, qui peut l’être aussi à sa façon. Surtout, cette année, les fêtes de famille se retrouvent ternies par l’absence d’un de ses cousins et de son épouse. A Gabriel et à Julie de découvrir les raisons de cette brouille et qui sait ? de réunir enfants et parents en cette période de l’année. Ils devront mener cette mission familiale de front avec une enquête : oui, un meurtre a eu lieu à Cassis, et Gabriel est prié d’aider la gendarmerie locale à trouver le coupable. Bien que le récit soit court, l’enquête nous entraînera loin dans le passé de la victime, nous permettra aussi de suivre, d’approfondir même plusieurs pistes, rappelant qu’il est toujours nécessaire d’aller au-delà des apparences.
Pour lire à Noël de cette année, mais pas maintenant, la période est passée pour moi 😆
J’aime lire les romans de Noël « en décalé ». J’ai enchaîné avec un autre roman court qui se passe à la même époque. Note : et pourquoi pas des romances de Pâques ?
Moi aussi, en vacances, en juin, sous le soleil, à la piscine ! mdr
Pâques, c’est pour une romance avec des oeufs en chocolat alors 😆
Voilà ! Je le referai sans doute aussi.
Oui ! Ce serait original.
Autant se marrer un coup en étant décalé !
Oui ! Je n’aime pas les lectures saisonnières.
Elles ne me dérangent pas si je les ai choisies… mais comme je n’aime plus Noël, je choisis le décalage exprès 🙂
Je ne suis pas très fan non plus, et ce, depuis de loooooooooooooongues années.
Depuis une quinzaine d’années, noël me pompe…
Alors, après des expériences de Noël plutôt compliquées, je ne suis plus très fan non plus.
Pas de souvenirs pénibles, mais marre d’être en cuisine, de faire la vaisselle, c’était toujours nous, les femmes qui faisions tout et les hommes, cul à table, sauf le mien qui cuisinait aussi…
Ah, non, pas dans ma famille – je me souviens d’une organisation assez paritaire, même s’il en est toujours qui en font moins que d’autres.
Mon père et son frère sont de la vieille époque où maman faisait tout et vu ma mère a été femme au foyer, mon père a eu l’habitude de ne pas faire le ménage, puisqu’il bossait et rentrait claqué. Maintenant, il essuie la vaisselle et fait la pizza :p
Mon oncle a eu sept soeurs. Alors, s’il a été chouchouté, il est aussi parfaitement capable de faire les choses – et il les fait !
Oui, mon mari a appris, mais mon père, ça ne capte pas : ma mère rentre tard d’avoir été garder le petit de ma soeur et papa n’a pas soigné le chien, ni les chats et son chien n’est pas relié, elle vadrouille dans la cour…. ma mère était vénère ! :p
Je la comprends !
Mon père, faut lui dire : un sms, un mot et alors, il le fera, sinon, il n’y pensera pas ! :p
Pingback: Mois du polar 2023 – le récapitulatif | deslivresetsharon