Présentation de l’éditeur :
Audrey, une jeune femme indépendante et ambitieuse, quitte Lyon pour s’installer à La Rosière. Loin de la grande ville française, une nouvelle vie se prépare : des montagnes, de la neige et un job passionnant dans une chocolaterie-confiserie ! Tout semble paisible et dépaysant, mais c’est sans compter sur son collègue suédois, un certain Maximilian.
Que cache ce Viking scandinave arrogant ? Il suffit d’une fraction de seconde pour qu’il ne la supporte pas. Leur destin s’annonçait pourtant opposé. Audrey réussira-t-elle à amadouer l’ours polaire ? Parviendront-ils à se rapprocher pour le bien-être de leur entourage ?
Mon avis :
Merci aux éditions Rival et à Netgalley pour ce partenariat.
Ce roman est la suite de Tempête et sucre d’orge. Alors oui, c’est une romance de Noël classique, j’en demeure d’accord. Elle contient tous les ingrédients qu’il faut pour plaire et, comme pour le premier tome, l’on se doute bien quels sont les deux personnages qui vont nouer une romance. Reste à savoir comment cela va se passer, et quels obstacles ils devront surmonter.
Depuis que les histoires d’amour nous sont racontées, les obstacles se divisent en deux catégories : les obstacles extérieurs et les obstacles intérieurs. En ce qui concernent les obstacles qui ne sont pas tributaires du caractère des protagonistes, on peut dire qu’ils ne sont pas si nombreux que cela : Maximilian et Audrey sont célibataires tous les deux, ils sont indépendants, et ne semblent pas avoir des opinions divergentes sur de grands sujets d’actualité. Certes, Maximilian est suédois, il pourrait donc être tenté de retourner en Suède – mais Audrey, libre de toute attache, pourrait le suivre, why not ? J’aime bien ouvrir des pistes, comme cela, et montrer qu’il n’y a rien de véritablement insurmontables.
En revanche, les obstacles intérieurs sont plus nombreux. Cela ne « colle » pas, de prime abord, entre eux. Maximilian, qui a souffert de sa séparation, peine à s’autoriser à tomber amoureux de nouveau. Quant à Audrey, elle peine vraiment avec le caractère de ce Viking suédois plus proche de l’ours mal léché que du parfait chocolatier.
Alors ? Alors la romance prendra véritablement son temps et l’autrice n’hésitera pas à utiliser des ellipses narratives, montrant qu’une romance de Noël peut se dérouler plus longtemps que pendant un Noël. J’ajoute que la part belle est également faite au chocolat sous toutes ses formes. Que demandez de plus ?
Tu retournes dans l’univers du chocolat pour une romance de No¨ël 😛 Et oui, on ne tombe pas amoureux/se en deux jours !
Oui ! Effectivement, non, mais c’est bien de le lire dans une romance.
Le livre n’est pas vendu avec du chocolat ? 😆
Hélas non, mais c’est un concept à développer.
Mais oui !!!
Message aux éditeurs pour Noël prochain, peut-être ?
Oui, on veut du BON chocolat (et pas de l’ersatz) avec le livre et, si possible, un beau mec livré avec…. :p
C’est vraiment bien ? Je l’ai vu chez Claude et je l’ai noté.
Miam du chocolat ! Joli titre en tout cas 😉
Oui, très joli.
ça peut être très sympa (avec un bon chocolat chaud!)