Présentation de l’éditeur : Un feel good moderne et rafraîchissant ! À quinze ans, Ann mène une vie tranquille et heureuse avec sa petite sœur et ses parents. Des parents en or : une mère actrice et attentionnée, un père sage-femme et bienveillant… Une famille unie ! Jusqu’au jour où Ann découvre que sa mère adorée trompe son père avec le metteur en scène de sa prochaine pièce. Et là, tout bascule : adieu les questionnements adolescents et l’insouciance… Cerise sur le gâteau, la troupe de théâtre de sa mère va venir répéter dans son lycée après les vacances de Noël ! Accompagnée de sa copine Manelle, Ann va mener l’enquête pour tenter de découvrir la face cachée de sa confidente depuis sa plus tendre enfance : sa mère.
Merci à Netgalley et aux éditions Scrineo pour leur confiance.
Note personnelle : cet article est mon avis sur un partenariat que j’ai lu et reçu très en avance. Quand j’ai programmé ce billet, je ne pensais pas que ce jour marquerait l’enterrement de mon cousin B***.
Mon avis (article programmé) : Hop hop hop l’amour ! est un roman à mettre entre toutes les mains. Si, si, je vous assure. Je n’irai pas, comme le quatrième de couverture, le présenter comme un roman « feel good », je dirai simplement que cela fait du bien, de temps en temps, de rencontrer une héroïne ordinaire, que l’on pourrait croiser dans presque tous les lycées. Sauf que… ce n’est pas aussi simple. Les parents d’Ann et de Carmen sont un peu hors-norme, lui est sage-femme, elle est comédienne. Et voilà qu’elle et la troupe à laquelle elle appartient vont jouer dans le lycée de sa fille, sur le thème de l’amour et des premières fois (non, ce n’est pas un sujet aussi scabreux qu’il y paraît). Pire – bien que là, pour une adolescente, ce soit déjà terrible – elle a découvert récemment que sa mère trompe son père avec le metteur en scène de la troupe. S’en est trop, et pour la première fois, cette adolescente sans problème se retrouve submergée par ce à quoi elle est confrontée. Que dire, que faire ? Je dirai qu’elle réagit exactement comme une adolescente. Et cette « crise » pourra en déstabiliser certains. Elle sera confrontée à d’autres événements non pas extraordinaires mais terriblement ordinaires – grandir, c’est cela aussi, être confronté(e) à la banalité de la vie. Et puis… viendra l’intrusion du théâtre dans le lycée, qui amènera les lycéens à écouter, à écouter vraiment ce que les autres ont à dire, à se confronter, à leur tout, à leurs propres idées reçues. N’est-ce pas tout aussi important ?
ça a l’air plutôt sympa!
Oui ! Je trouve sympa que les éditeurs jeunesse nous proposent de temps en temps des héros ordinaires, pas des personnes que le sort accable de tous les maux.
Même pas envie de feel good, tiens… je dois couver un truc, j’ai envie de noirceur !
Je n’ai pas envie de feel good non plus en ce moment. Après avoir lu la voix d’outre tombe, je poursuis avec Mourez ! On s’occupe de tout.
Y’a des jours comme ça…
Oui ! Dans ce dernier tome, c’est un incident lors d’un enterrement qui provoque l’enquête…
Un rien et hop, les flics enquêtent.
Là, ils ne sont pas très motivés, donc ils refilent l’affaire à un détective.
Purée, les faignasses :p
Eh oui, c’est tragique de chercher à en faire le moins possible !
C’est facile aussi !
Oui ! S’il fallait s’occuper de toutes les disparitions….
oufti, on n’en sortirait pas !
Et bien oui ! Surtout que la personne peut très bien avoir envie qu’on ne la retrouve pas !!!!
Ah oui, en effet ! 🙂