Bamboo édition – 168 pages
Présentation de l’éditeur :
Comment survivre à l’arrivée d’un chat quand on ne vit que pour les jeux vidéo ? La nouvelle série de l’auteur de Félin pour l’autre !
Kozakura, 29 ans, célibataire et fière de l’être. Son but dans la vie : consacrer la moindre minute de son temps libre aux jeux vidéo. Mais voilà qu’un nouveau joueur fait son apparition dans sa vie : un petit chat tout ce qu’il y a de plus réel, qui va bien l’occuper entre deux parties… Car cohabiter avec un félin plein de vie, ce n’est pas pour les petits joueurs, et la gameuse va le découvrir à ses dépens !
Mon avis :
C’est le tome 3 et tout va bien. Oui, je sais, c’est une accroche facile.
Là où des livres nous montreraient doctement comment concilier vie professionnelle et vie personnelle, La gameuse et son chat nous montre comment concilier passion pour les jeux video et chat. La vie professionnelle de Kozakura existe, oui, mais elle n’est pas le centre de son existence, elle est ce qui le permet de vivre, non sa raison de vivre.
Ainsi, elle veut à tout prix parvenir à finir un de ses jeux préférés. Elle va donc, comme si elle avait encore vingt ans (elle en a 29) rogner sur ses heures de sommeil afin de parvenir au bout de sa quête. Problème : il ne faut surtout pas que ce manque de sommeil l’empêche d’être efficace au travail, sinon, elle devra passer plus de temps que prévu au bureau, ce qui la gênerait considérablement pour jouer. Second problème : elle n’avait pas prévu qu’Omosubi n’en aurait strictement rien à faire de son temps de sommeil et se montrerait très actif la nuit ! Vivre avec un chat n’est pas toujours facile (dit celle qui est entourée par de nombreux chats alors qu’elle écrit, et tente d’empêcher Lisette de taper sur Annunziata, Séréna ou Griselda – oui, j’aime les « a » et non, ce n’est pas moi qui ai choisi le prénom de Lisette).
Kozakura passe aussi un temps certain à prendre soin de son chat, rechercher ses jouets, voir même… lui donner un bain. Pour avoir testé par nécessité, je peux vous assurer que c’est tout sauf une partie de plaisir.
A lire pour les fans de chats (dont je suis) et de jeux vidéos (auquel je ne connais strictement rien).