Présentation de l’éditeur :
À Idyllia, les humains voyagent à dos de dragon alors que les chevaux sont des mythes. Dans ce monde médiéval fantastique, Artémus est le jeune écuyer de sire Kendrick, et Iselle la fille d’un marchand de dragons. Leurs chemins se croisent le jour où sire Kendrick décide de remplacer son vieux palefroi, Oom, par une monture plus fringante. Iselle, qui a hérité de sa mère du don de communication avec ces nobles animaux, capte la mélancolie du vieux dragon, désireux de terminer ses jours dans une contrée oubliée dont seuls les membres de son espèce ont connaissance. C’est ainsi que commence un voyage drôle et épique qui va mener nos héros bien au-delà des terres d’Idyllia, jusqu’à la Vallée des Dragons, jusqu’à Dragonland, là où tout a commencé. Là où tout finira ?
Merci aux éditions Fleurus et à Netgalley pour ce partenariat.
Mon avis :
Je suis contente de voir que c’est un premier tome : j’ai aimé l’univers d’Idyllia tel qu’il nous a été présenté, et il a suffisamment de potentiel pour permettre le développement d’autres aventures.
A Idyllia, les dragons sont des montures comme les autres – il faut dire que ce sont les seules montures qui existent. Elles sont donc omniprésentes dans la vie quotidienne, que ce soient celles des chevaliers, de leurs écuyers, mais aussi des marchands de dragon, qui ont parfois fort à faire avec leur marchandise. Oui, il est des dragons qui crachent du feu inopinément, c’est un peu le rôle d’un dragon, on aurait tort de l’oublier. Heureusement, quelqu’un a inventé des colliers spéciaux, qui permettent de maîtriser ses animaux. Heureusement (bis), il se présente parfois des chevaliers tellement prétentieux que l’on a une immense envie de leur fourguer la marchandise, belle mais capricieuse.
Ce chevalier, c’est sire Kendrick. Oui, il en a assez de son ancienne monture, Oom, qui ne crache plus vraiment du feu et ne se montre plus très pimpant. Sûr de lui, de son aura, de sa bedaine (ah, non, pardon, ce sont les autres qui la voient), il n’hésite pas à demander un magnifique dragon, Arzach, le troquant contre Oom et son écuyer Artémus. Oui, quand on ne peut pas (véritablement) payer, on troque. C’est le début d’une quête que personne n’aurait pu prévoir. Artémus n’est pas un écuyer comme les autres, il est très attaché à Oom, et, finalement, très heureux de pouvoir rester auprès de lui, et, qui sait ? l’aider à réaliser son rêve : rejoindre la vallée des Dragons, où le vieux destrier souhaite finir ses jours. Pour cela, il recevra l’aider d’Iselle, dont la mère est partie en mission un an plus tôt et n’est toujours pas revenue. A-t-elle, finalement, trouvé cette vallée des dragons ? Iselle l’espère. Je pourrai vous parler d’inversion des rôles, puisqu’Iselle est véritablement celle qui mène la mission, et Artémus qui suit, mais plutôt que d’inversion, je vous parlerai de complémentarité, de volonté de progresser, et d’être honnête aussi : Iselle n’a pas peur de dire qu’elle est terrifiée, et rappelle à Artémus que cela ne sert à rien de le cacher.
Comme dans toute quête traditionnelle, ils feront des rencontres, traverseront des épreuves, et trouveront des alliés inattendus, comme sir Kendrick, ou certains dragons qui ne demandent qu’une chose, être libres.
Toutes les quêtes sont les mêmes, finalement, mais malgré tout, c’est comme les enquêtes, on adore ça quand c’est bien fait 😉
Oui, c’est certain !
je l’ai beaucoup conseillé ces derniers temps. un bon roman d’aventures qui se lit facilement
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