Présentation de l’éditeur :
De l’enfance sauvage aux atermoiements amoureux d’une femme dans le New York d’après-guerre, Mary sonde les thèmes de l’adultère, de la maternité et de la filiation. Un premier roman à la forme soignée et maîtrisée qui emprunte à la Rebecca de Daphné du Maurier et aux romans de Laura Kasischke.
Mon avis :
Autant vous le dire tout de suite, je n’ai pas compris ce livre. Mais alors pas du tout. Quelle est la frontière entre la folie et la réalité ? Y en a-t-il vraiment une d’ailleurs ? Y a-t-il réellement un lien entre les deux héroïnes de ce roman ? Beaucoup de questions, et peu de réponses. le style est agréable, ce n’est cependant pas suffisant pour trouver un réel plaisir de lecture et prolonger le questionnement né autour de ce livre.
Devant un tel avis je suis perplexe ! Je ne sais pas quoi en penser mais pour l’heure, je vais passer mon tour, pourtant le sujet de départ m’attire, la folie aussi quand elle est bien traitée…
J’ai vraiment fait court, je n’ai eu aucune envie de développer. L’auteur a voulu nous mettre dans la tête d’une personne atteinte de folie, sans que l’on sache jamais qui est véritablement cette personne. Volonté de déstabiliser, d’être au plus prêt du sujet, peut-être, mais je n’aime pas ces livres où je n’accroche avec aucun personnage.
Le titre me disait quelque chose mais, en lisant ton avis, je ne vais pas chercher plus loin.
C’est un premier roman… et je ne l’ai pas vraiment apprécié. La rentrée littérature en a offert de bien meilleur cet année.
Voilà pourquoi il me disait quelque chose. Il ne fera donc pas partie de mes lectures parmi les 68
Je pense qu’il est de meilleurs romans que celui-ci.
Je passe…
J’aurai dû passer….
Un peu comme toi, Sharon, pas tout compris…
https://pativore.wordpress.com/2015/10/09/mary-d-emily-barnett/
mais je l’ai quand même apprécié 😉