Présentation de l’éditeur (extrait) :
L’armée d’Ombrune est en marche. Afin de retarder les soldats ennemis, le Libre Peuple et les habitants de l’île aux Dragons ont fait naître d’étranges créatures dont le venin a des effets surprenants ! Or, ils ignorent que, dans l’ombre de la Citadelle Noire, Anya agit pour leur cause
Mon avis :
« Une légende qui devient vrai, ça aussi, c’est terrifiant !’
Ce dix-huitième tome est centré sur un personnage que l’on a appris à découvrir au cours de la saga : Anya. Esclave (et oui, les sorciers trouvent plus pratique d’ensorceler la nourriture que de payer du personnel), elle est également fille de sorcier par son père, et donc moins sensible aux atmosphères irrespirable, car gorgée de magie.
Surtout, elle souhaite plus que tout être libre – et libérée les autres. Guidée par les magiciennes jumelles (un chaudron est toujours utile), elle fait de son mieux pour contrecarrer Darkat et aider ceux qui luttent contre les sorciers.
La nuit est longue, la nuit n’est pas magique, la nuit est sorcellerie. Tous attendent que le jour se lève – se lèvera-t-il, et sur quoi ?