Présentation de l’éditeur :
Amandine est bien l’élève la plus maladroite de l’Académie de sorcellerie! Quel désastre lorsqu’il s’agit d’apprendre à voler à son chat Petipas ou de fabriquer la potion d’invisibilité. Sans compter les mauvais tours d’Octavie Patâfiel…
Mon avis :
La couverture est une vraie réussite ! Et oui, les sorcières n’ont plus le vent en poupe, même Hermione Granger n’a pas le charisme suffisant pour faire oublier Bella. Alors quand elle s’appelle Amandine, qu’elle a été crée à la toute fin des années 70 et qu’elle est en plus très maladroite, autant dire que c’est mission impossible.
Pourtant, elle est bien sympathique, cette Amandine. L’école de sorcellerie dans laquelle elle étudie n’a rien de Poudlards, elle ressemble plutôt à un internat anglais des plus stricts, avec des professeurs très à cheval sur le règlement et sur leur balai (ce qui n’est pas peu dire).
Justement, Amandine a beaucoup de mal à rester sur le sus-dit balai. Elle a encore plus de mal à persuader son chaton, le seul chaton gros de toute l’école (il n’y avait plus de noir…) de rester sur le balai, même après d’âpres négociations. Mais ce ne sont que des détails face :
– aux mésaventures que lui réservent sa pire ennemie, une sorcière à qui tout réussit, et à qui il ne manque rien, surtout pas la méchanceté, pour réussir.
– à un monstrueux complot ourdi pour que l’école ferme, définitivement.
Etre une sorcière, même maladroite, ce n’est pas facile tous les jours, et encore moins toutes les nuits.
Vous aurez compris, ce livre n’effraie pas, mais fait beaucoup sourire. A lire sans modération, toute l’année.