édition Milan – 156 pages.
Quatrième de couverture :
Le marais qui pue, ses montagnes moisies, sa mare odorante, ses souris échassières, ses grenouilles péteuses ; ses magiciens, ses elfes, ses dragons…
Un monde délirant, un monde de fous. Mais un monde en danger. Seul un super-guerrier peut le sauver. Un certain Jean-Michel Chanourdi, 10 ans, écolier… Cette fois-ci, Jean-Michel Chanourdi est bien décidé à rentrer chez lui, dans le monde normal (sans ogre, ni dragon, ni grenouille péteuse). Seul problème : il lui faut d’abord récupérer le Grand Grimoire, volé par le terrible, l’horrible, l’indéfectible docteur Câlinou…
Et ce n’est pas gagné d’avance…
Avertissement :
Ce billet contient des spoilers sur le tome 2.
Mon avis :
Nous voilà de retour au marais qui pue (aucune allusion aux soucis digestifs de Nunzi, n’est-ce pas). Jean-Mi, lui, n’est pas forcément ravi d’y être, il n’est même pas ravi du tout, surtout que Randalf a toujours de bonnes excuses pour ne pas se lancer dans l’expédition dans le but de retrouver le sus-dit grimoire qui permettrait de renvoyer Jean-Michel chez lui. Il serait largement temps qu’il retrouve sa maison, même sa soeur commence à lui manquer !
Le baron Cornu, lui, est dans de beaux draps : de magnifiques nounours ornent sa couette. Sa chère et tendre épouse a été kidnappée par l’odieux docteur Calinou, qui ne cesse de lui envoyer des lettres détaillant les sévices qu’il compte faire subir à la pauvre Ingrid – sévices qui permettent au baron Cornu de voir ses nuits visités par des songes agréables. Sans Ingrid, il revit, et fait tout ce qu’elle lui avait interdit – et la liste est loooooooooooongue – et très agréable à accomplir, enfin.
Maintenant… le marais qui peu vit deux autres événements. Le premier est le départ en vacances de TOUS les elfes, ce qui est totalement anormal car les elfes ne prennent jamais de vacances. Il faut dire qu’on leur a proposé un séjour de rêves, à base de tâches harassantes, de corvées inouies et de travail sans discontinuer. Quel bonheur, non ? Nous rêvons tous de passer nos vacances ainsi.
Le second événement est le retour, au marais, d’une grande guerrière, une vraie. Elle n’a qu’un seul petit défaut, mais chut ! chacun a ses faiblesses, n’est-ce pas ?
Bref, ce troisième tome, qui clôt réellement un cycle, est très enlevé et laisse place à l’amour, le vrai, le grand, l’unique. Même si les amoureux ont parfois une drôle de tronche. Vivent les Trolls. Et vive l’humour.
Lui, il est chou ! j’espère que les vacances des elfes sont des congés payés !
Oui, à coups de fouet !
Cette série me tente bien …après tout, il n’y a pas d’âge pour une promenade dans un marais qui pue….
Exactement ! Surtout, la véritable identité du docteur Calinou est à la fois inattendue et prévisible.
Elles ont l’air amusantes ces Chroniques des Marais qui puent. Jolie découverte.
Bonne soirée ! Et caresses aux 4 pattes !
Oui, elles le sont ! Les trois premiers tomes sont fortement inspirés par une célèbre trilogie. Les trois suivants tendent plutôt vers Twilight.
Merci : caresses à Edwyn et Faiel.
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