Présentation de l’éditeur :
Cette nuit-là, dans la capitale britannique endormie et noyée sous une pluie obstinée, tout semble calme du côté de la légendaire Tour de Londres. Soudain, une panne de courant. Des cris d’alerte qui viennent déchirer la nuit. Horreur et stupéfaction : la couronne impériale vient d’être volée. Seul indice, une mystérieuse lettre « M » de couleur jaune tracée à la hâte sur une porte…
Mon avis :
J’ai découvert ces personnages grâce à des dessins animés, qui passaient voici quelques années à la télévision. Tout comme certains sont venus aux mangas après avoir vu l’animé, j’ai découvert la bande dessinée de cette manière.
Blake et Mortimer doivent déjouer un complot, et surtout, trouver le dénominateur commun entre toutes les personnalités qui ont été kidnappées. La cause est à rechercher dans leur passé commun, et faites confiance au malfaiteur, il fera tout son possible pour empêcher les deux hommes de mener leur enquête à bien. Il ne reculera quasiment devant rien pour les mettre hors d’état de nuire, seule sa mégalomanie l’empêchera de prendre en compte l’ingéniosité et le courage de Blake et Mortimer. Contrairement à d’autres résumés glanés ici ou là, je ne vous révèlerai pas le nom de cet ennemi, je ne vous dirai même pas si Olrik, leur ennemi préféré est de la partie. Je dirai simplement que cet album parle des dangers de la science qui tombent aux mains d’une personne à la conscience malade.
Le graphisme est classique. Rien ne déborde des bulles, les récits sont nombreux, les détails sont particulièrement soignés. Cependant, je suis sensible aux couleurs utilisées, j’aime particulièrement les scènes nocturnes, abondantes dans cet album.
Blake et Mortimer ? Deux héros à découvrir ou à redécouvrir.
J’ai en VHS toute la série ! Les garçons aimaient, mais j’avoue que je ne connais pas beaucoup.
Une autre BD chroniquée ! Je vais devoir lire un manga alors !!!
Chic, chic, chic ! J’ai quelques mangas à te recommander.
Quelques !!! attends petit papillon !!! un me conviendrait et de plus j’avais acheté un manga aux garçons suite à un de tes billets. Je ne sais plus lequel, mais c’était très sombre.
Ton commentaire était dans les indésirables ! C’est pour cette raison que je te réponds seulement aujourd’hui. Quelques, pour que tu aies l’embarras du choix !
Mes mangas préférés sont Genkakus Picasso, Monster, Pluto et New York New York.
Je crois que c’était Enigma.
une série bd que j’aime bcp !
Je n’ai lu que celle-là, malheureusement.
Les blogueuses ont le vent nostalgique en ce moment !!!
Peut-être une déception envers la littérature contemporaine !
Je connais de nom mais je n’ai jamais vu à la télé ! Bravo pour cette chronique, tu donnes envie ! (Alors que moi les BD, c’est pas gagné)…
Merci Asphodèle ! Ce n’est pas gagné pour moi non plus !
Je l’ai lu il y a une vingtaine d’années, pour découvrir ces deux héros. Je n’avais pas accroché mais je serais incapable de dire pourquoi.
Pour ma part, si je n’avais pas vu le dessin animé avant, je n’aurai peut-être pas accroché non plus !
J’ai beaucoup aimé la série animée. Les BDs j’accroche moins : j’aime beaucoup les histoires, les dessins aussi, mais j’ai un peu de mal avec l’agencement texte/dessin et le fait qu’il y ait beaucoup de texte en haut des cases. Ca me freine pas mal.
Bonne semaine, j’espère que la rentrée n’a pas été trop dure.
J’ai eu du mal aussi avec ce principe.
Si, un peu tout de même : les élèves sont très en forme, nous, un peu moins.
Je crois que j’en ai lu un ou deux : j’en garde le souvenir d’une lecture plaisante. Bisous
Je n’ai lu que celui-ci pour l’instant, mais je compte bien en lire d’autres ! Bises.
Bonjour Sharon, je n’ai vu aucun des dessins animés mais je les ai tous lus en livre. La marque jaune est mon préféré. Bonne après-midi.
Ah, le charme suranné d’un Blake et Mortimer, les pavés descriptifs de Jacobs… Mais y’a pas à dire, c’est toujours un plaisir à lire… Surtout la Marque Jaune. Avec le secret de l’espadon, c’est un de mes préférés dans la série.
Merci Yaneck.
J’ai voulu emprunter le secret de l’espadon à la BM, ils ne l’avaient pas.